Le réseau social est venu détruire la presse libre et le journalisme professionnel. Il est temps que les gestionnaires de la presse et de l’internet se mettent sur une même table pour essayer de sauver la profession du journaliste. Si non, il y a peril en la demeure. Les vrais faux journalistes distillent des poisons dans le secteur d’informations, et si on n’est pas outillé pour discerner, on y tombe facilement. C’est vraiment un circuit de la mort avec les cyber criminels. Quelle loi appliquée?
La facilité qu’ a donné le monde de l’internet à tous les criminels est trop dangeureuse, voire même pour la bonne moeurs.
L’accès facile à l’internet est ainsi incommode qu’intolérable. Certain media, malheureusement banalise certaines infractions, au point que des individus, apparemment responsables mais sans scrupule et moindre mesure dans leurs propos, se permettent tout jusqu’à porter publiquement de fausses accusations ramassées dans leurs propres pensées, mais surtout dépourvues de moindre prevue.
Ces informations irréfutables contre certaines personnes et entreprises, allant jusqu’à détruire les valeurs doivenet être reprimées. Alors qu’il ya sous peu, on venait de prendre toute une loi sur les medias, mais c’est come si c’était une occasion de porter vraiment prejudice à la profession de chercheurs d’informations . Et pourtant connues pour leur sérieux par des instances nationales qu’internationales.
De victimes de désinformations et d’intoxication, nous signalons Stever Construct Cameroun SARL;
C’est un cas à épingler, car, il est reconnu que Stever Construct Cameroun SARL et son Président Directeur général, Mike Kasenga Mulenga sont aujourd’hui victimes d’une intoxication ayant été répandue sur les réseaux sociaux notamment X (ancien Twitter), WhatsApp et Facebook, ainsi que par certains médias, les accusant faussement d’avoir perçu de l’État congolais, au moins 390 millions USD pour livrer 200 forages, alors qu’il s’agit de 1.340 forages.
Cette façon cavalière et décousue de présenter les choses, démontre manifestement une intention délibérée de nuire, surtout lorsque pour ce même dossier, l’Inspection Générale des Finances, IGF et le Parquet general, près la Cour de cassation mènent leurs enquêtes. Et la question que l’on peut se poser est celle de savoir : pourquoi cette agitation et cette campagne de dénigrement ? !
Mais, suivant la documentation et lecture de différentes correspondances, Scooprdc.net qui est un réseau composé des professionnels des médias et assumant leurs responsabilités apporte les éléments suivants que les détracteurs de Mike K asenga et autres curieux intéressés au dossier en ajoutent dans leur background:
- Le projet de contrat/travaux d’installation des forages (unités solaires de pompage et de traitement d’eau) et de construction des stations mobiles de traitement d’eau de capacité de 2,5, 5 et 10m³/H, est un projet financé par le gouvernement congolais, à travers son Ministère du Développement rural, non pas pour de forages destinés à l’irrigation, mais des unités solaires de pompage et de traitement d’eau, ainsi que les constructions des stations mobiles de purification d’eau ;
- Contrairement aux fausses allégations distillées, dans le but de ternir l’image de l’entrepreneur ayant gagné ce marché, il est impérieux de préciser que la durée de l’exécution du contrat est de cinq ans, à dater du premier paiement et à raison de 200 unités par phase de production qui elle, équivaut à un an. C’est ainsi que dans sa correspondance du 20 avril 2021, la DGCMP avait pris le soin d’instruire le service compétent, conformément à la lettre du Ministère des finances du 09 mars 2021, de faire exécuter le contrat en phase, à raison de près de 80 millions USD pour 200 unités par Phase.
- Alors que le contrat initial prévoyait 1.000 unités sur toute l’étendue du territoire, l’entrepreneur Mike Kasenga s’est engagé à livrer 1.340 stations d’eau potable sans modification aucune, du montant du contrat initial.
- Mike Kasenga n’est qu’à la première phase et déjà sa société Stever Construct Cameroun SARL a exécuté et livré entre février et mars 2024, 9 stations à Kinshasa-Kimpoko, 32 stations dans la Tshopo prévues sur les 47 et 17 autres sont en cours d’exécution. Le Grand Equateur va recevoir la semaine prochaine 30 stations les 45 prévues et 15 autres en cours d’exécution et le Kasaï central en recevra 20 à la fin du mois sur les 33 prévues et 13 autres en cours d’exécution.
Les mois d’avril et de mai 2024, le chronogramme prévoit un total respectif de 126 stations à livrer et 96 autres, en cours d’exécution. Les travaux sont notamment en cours à Kisangani, Kananga, Lisala, Bulungu, Mbandaka, Bikoro, Katanda, Tshilenge, Kinshasa et Boma.
En rappel, cette première phase des travaux devra couvrir 241 localités. Au mois de mai 2024, il est prévu l’atteinte de 302 localités, car les matériels en stock dans les entrepôts de Stever Construct Cameroun SARL l’attestent.
- Au sujet de la prétendue surfacturation, il sied de savoir qu’avant qu’un ANO soit établi et délivré par la Direction Générale de Contrôle de Marchés Publics (DGCMP), la contre-vérification, non seulement des prix mais aussi de la qualité du matériel, est minutieusement entreprise par les experts de ce service technique du Ministère du Budget auprès des fournisseurs des matériels.
Le prix d’un forage tel que les « nyonsotivores » (NDLR : connaisseurs de tout) le donnent d’une façon simpliste, comporte plusieurs rubriques, notamment les frais de transport de chez les fournisseurs à Kinshasa, les frais d’acheminement vers les sites d’installations (avions, camions, bateaux), les frais d’entreposage etc.
Aussi, un forage construit à Kinshasa ne coûterait pas le même prix que celui construit à Bikoro ou au Katanda, au regard des rubriques qui les composent.
Et ici, la société contractante met à défi quiconque apporterait ne serait-ce que la preuve de sa prétendue surfacturation des ouvrages construits avec des matériels ultra-modernes de dernière génération et de son retard dans la livraison de ces derniers.