Au bout de cette route sans issue, l’homme, paré de l’armure de la bravoure, traverse les tourments de l’existence avec une vigueur apparente.
Pourtant, lorsque le destin cruel lui enlève son ami bien-aimé et l’emmène vers le sombre royaume de l’oubli, c’est à l’enterrement, au cimetière des âmes retrouvées, que sa forteresse intérieure vacille, que son cœur, autrefois vaillant, se brise dans un concert de lamentations.
Comme le soulignait Voltaire, « Le vrai bonheur est dans l’amour et la bienveillance envers ses semblables. »
Ainsi, la perte d’un ami cher révèle la fragilité de l’âme humaine et la profondeur des liens qui unissent les cœurs.
Victor Hugo, quant à lui, évoquait avec éloquence la douleur de la séparation en ces mots mémorables : « La vie, c’est le combat ; le bonheur, c’est la victoire. Mais il arrive que la victoire soit de courte durée, que la main de la mort vienne briser nos liens les plus précieux. »
Je vous le dis, lorsque l’homme s’effondre à l’enterrement de son ami, ce n’est point une faiblesse à condamner, mais le reflet émouvant de sentiments puissants et sincères, témoignage poignant de la fragilité et de la grandeur de l’âme humaine.