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Mise en place de régime de sécurité sociale : Le sénateur Papy Labila Nkalim soulève la problématique de proximité de la CNSSAP et les banques pour la perception de salaire dans la province du Kwilu
ParLa Rédaction
Publié le5 secondes ago

soulevé le problème de proximité de la Caisse nationale de Sécurité sociale des Agents publics de l’État, le mercredi 12 juin au Sénat lors de l’adoption de la loi portant régime spécial de sécurité sociale des agents publics de l’État.
Face au Vice-Premier Ministre, en charge de la Fonction publique, de la Modernisation de l’administration et Innovation dans service public, Jean Pierre Lihau, l’élu de la province du Kwilu, le sénateur Papy Labila Nkalim a tout d’abord posé la question de savoir le nombre de mécanisations des fonctionnaires et des agents publics de l’État de la province de Kwilu effectués depuis le début de l’année.
« Tout en encourageant les efforts déployés par le vice-premier ministre, je voudrais demander au vice-premier ministre, déjà nous sommes au deuxième trimestre de l’année 2025, combien de régulations et combien de mécanisations pour la province de Kwilu et le territoire d’Idiofa et quelles sont les projections jusqu’à la fin de l’année », a-t-il questionné.
Papy Labila Nkalim a loué la mise en place du régime de sécurité sociale des agents publics de l’État. L’élu de la province de Kwilu a par ailleurs soulevé les inquiétudes sur la proximité du siège de la CNSSAP et de certaines banques dans le territoire d’Idiofa et dans certains coins de la province du Kwilu.
« Il y a des gens qui, pour toucher un salaire, sont obligés de faire jusqu’à 500 km, rien que le transport coûte plus cher que le salaire qu’ils vont chercher », a-t-il fait savoir.
Au regard du problème de proximité, Papy Labila Nkalim a demandé au vice-premier ministre d’envisager un paiement via Mobile Money pour les gens et fonctionnaires de l’État de la province de Kwilu.
Le sénateur Papy Labila Nkalim a aussi soulevé le problème de l’effectif de la direction générale des Douanes et Accises.
À entendre Papy Labila Nkalim, la DGDA, qui a besoin réellement de 300 agents, ne compte que 75 agents. Cette situation favorise la contrebande.